Béluga

Ces deux sites se trouvent à l'entrée du bras sud du Bellsund - Van Keulenfjorden. Les deux sites, et la zone qui les sépare, sont parsemés de restes de béluga, la baleine blanche, qui était chassée pour sa graisse et sa peau. Il y a des piles d'os blanchis et des bateaux en bois retournés qui ont été laissés lorsque la zone a été abandonnée dans les années 1930.

C'est un site populaire pour un débarquement et pour marcher à travers la toundra entre les deux sites, à la recherche de fleurs arctiques, de rennes, de renards arctiques, et pour vérifier quelques cabanes de chasseurs.

Sur Admiralty Inlet, à l'extrême nord-ouest de l'île de Baffin.

Nommé d'après le navire baleinier Arctic en 1872, c'est le site d'une assez grande communauté (principalement inuktitut) appelée Ikpiarjuk. Il y a un musée et Ikpiarjuk est un bon endroit pour apprendre la culture. La région est idéale pour les croisières en bateau.

Une ville minière russe active sur la colline de Grønfjorden, qui a connu des temps difficile, et qui peut sembler morne et austère. Mais il est agréable de s'y promener grâce à son architecture et il y a un hôtel, un magasin de souvenirs, un musée et, depuis peu, grâce à des investissements supplémentaires, une brasserie. La plupart des croisières ne le visitent pas, mais il est facile à voir par temps clair en naviguant dans ou hors d'Isfjorden. C'est une excursion populaire d'une journée depuis Longyearbyen, et vous pouvez même y passer la nuit.

Site historique clé où Franklin a passé son premier hiver avant que l’Erebus et le Terror ne disparaissent du monde extérieur.

L’endroit est rendu très sombre par les tombes de trois des hommes de Franklin, ainsi que d’autres, en plus de monuments commémoratifs ultérieurs. Situé à l’extrême sud-ouest de l’île Devon, séparé par le détroit de Barrow, il se trouve à un carrefour clé du passage du Nord-Ouest et a servi de base principale pour la recherche de Franklin.

Cet endroit isolé est une destination incontournable pour tous ceux qui visitent le passage du Nord-Ouest, l’accent étant mis sur le site lui-même plutôt que sur la faune, mais le large peut être propice à l’observation des bélugas.

Détroit étroit séparant l'île Somerset au nord du promontoire Murchison de la péninsule de Boothia au sud, la partie la plus septentrionale de l'Amérique continentale.

Le détroit de 2 km de large et de 25 km de long relie le golfe de Boothia, l'inlet Prince Regent et la baie de Brentford à l'est au détroit de Peel et au détroit de Franklin à l'ouest. Il est devenu un détroit sur "l'une" des routes du passage du Nord-Ouest. Sur une carte de l'Arctique canadien, à moins de regarder en détail, il est facile de supposer que la péninsule de Boothia et l'île Somerset sont une seule péninsule. À bien des égards, le détroit de Bellot étant pris dans les glaces une grande partie de l'année, il ressemble à une péninsule. Puisqu'elle est si étroite, elle peut être un endroit pour chercher le narval.

NB : Lors de l'expédition de 1829 à 1833 de Sir John Ross, son neveu Sir James Clark Ross faisait partie d'un petit groupe de traîneaux qui a localisé la position du pôle Nord magnétique le 1er juin 1831, sur la péninsule de Boothia. Sir James Clark Ross a ensuite découvert le pôle magnétique sud lors de ses expéditions en Antarctique … avec l'Erebus and Terror.

Dans le nord-ouest du Groenland, dans la baie de Melville, la calotte glaciaire descend jusqu’à la côte, séparant l’extrême nord-ouest du Groenland du reste de l’ouest du Groenland.

Le cap York est l’un des premiers endroits de cette côte nord-ouest où l’on trouve de la toundra et des lacs à explorer. Les montagnes et les icebergs correspondent à ce lieu isolé qui, à bien des égards, est bien plus lié à l’Arctique canadien qu’au Groenland.

C’est l’un des sites les plus importants du nord-ouest du Groenland pour la nidification des oiseaux de mer et il peut aussi être favorable aux mammifères marins. En plus d’être un terrain de chasse traditionnel, des baleiniers et des explorateurs ont également visité la région, et la famille de l’amiral Robert Peary a érigé un monument en l’honneur de ses explorations sur le cap.

Bel endroit pour explorer la toundra et profiter des vues magnifiques.

Entre l’île d’Ellesmere et l’île Devon, à l’entrée du détroit de Jones.

Elle fait partie de la Réserve nationale de faune Nirjutiqavvik et de Cambridge Point, avec des falaises spectaculaires qui constituent un site important pour la nidification des oiseaux de mer, notamment le guillemot à miroir, la mouette tridactyle, le goéland bourgmestre, le fulmar boréal et le guillemot de Brünnich. Les eaux au large sont également propices aux mammifères marins.

Daneborg, sur la côte sud de la péninsule de Wollaston Foreland, est le site de la patrouille Sirius danoise qui patrouille dans le nord-est du Groenland et le vaste parc national.

Les navires de croisière s’enregistrent ici en provenance du Svalbard, puis explorent les fjords voisins, en s’assurant que la glace de mer descendant vers le sud dans le courant du Groenland oriental ne bloque pas les entrées des systèmes de fjords. Une partie de cette glace de mer peut inclure de la glace pluriannuelle qui a dérivé vers le sud depuis l’océan Arctique, ce qui contraste totalement avec l’influence réchauffante du Gulf Stream sur la côte ouest du Svalbard, qui n’est pas si loin à l’est.

De l’autre côté du fjord Young se trouve l’île Clavering, où Clavering et son équipage du Griper ont rencontré une bande de douze Inuits en août 1823. Les explorateurs ultérieurs de la région n’ont trouvé aucune trace d’habitants dans le nord-est du Groenland. Il existe des vestiges de villages inuits et il semble que, lorsque les premiers explorateurs européens sont arrivés, la petite population était déjà en train de disparaître ou de partir. C’est peut-être la combinaison des conditions froides de l’époque et de la difficulté de survivre dans l’une des régions les plus hostiles de la planète, même pour les Inuits – le nord-est du Groenland. Il y avait également une station météorologique sur l’île.

Sur la côte ouest d'Edgeøya, Diskobukta est un canyon étroit, encastré dans le flanc d'une colline escarpée, où vit une importante colonie de mouettes tridactyles, comptant plus de 100 000 oiseaux.

Il est assez difficile de débarquer sur le rivage, la mer étant peu profonde juste au large, ce qui rend l'expérience encore plus intéressante. Avec autant d'oiseaux, les renards arctiques patrouillent souvent au pied des falaises.

À l’extrémité nord de la baie de Baffin et à l’extrême nord-ouest du Groenland, Etah fait face au détroit de Nares et à l’île d’Ellesmere, une région généralement gelée d’octobre à juillet.

La région a servi de point de passage vers le Groenland pour des cultures il y a 4 400 et 2 700 ans, pour les migrants de la culture Thulé il y a moins de mille ans, et fut le point de la dernière migration des Inuits de l’île de Baffin qui atteignirent la côte du Groenland en 1865. Etah fut également un point de départ pour diverses expéditions tentant d’atteindre le pôle Nord.

Aujourd’hui, le détroit, lorsqu’il est gelé, continue d’être un point de passage pour la faune du Canada vers le Groenland, même les carcajous parviennent à traverser. Etah était autrefois la localité habitée la plus septentrionale du monde, mais elle a été abandonnée (les Inuits ayant déménagé vers le sud à Pituffik) en raison des conditions difficiles.

Le point culminant de nombreuses croisières au Svalbard est l'exploration de la banquise, et les meilleures conditions sont réunies lorsqu'il y a un bord évident de la banquise à dépasser, ou une mer calme où certains navires pénètrent dans la banquise détachée. C'est une expérience unique et inoubliable que d'explorer la banquise "au sommet du monde". Les oiseaux de mer se nourrissent le long de la lisière, ce qui peut également être favorable aux phoques du Groenland et aux baleines. Le point culminant est d'apercevoir un ours. Parfois ils sont à distance, parfois à quelques centaines de mètres, parfois ils s'approchent directement du bateau. L'essentiel est d'apporter des jumelles pour profiter pleinement de l'ours polaire et l'observer au cœur de son royaume, la banquise, quelle que soit la distance.

Parfois, un ours est vu rapidement, parfois cela prend quelques heures, parfois cela prend la majeure partie de la journée. D'autres fois, on peut passer deux jours à explorer la banquise sans voir un ours. Il est important d'être patient et de profiter de l'expérience, l'observation d'un ours étant la cerise sur le gâteau ! Les conditions peuvent changer rapidement. Des brumes viennent souvent réduire la visibilité. Les courants peuvent étaler la glace en une banquise très dispersée, rendant l'observation d'ours moins probable. Des vents forts et une houle peuvent vous éloigner de la lisière de la banquise.

En début de saison, toute la côte nord est sous l'emprise de la banquise, ainsi que de la banquise côtière dans les parties plus profondes des fjords du côté ouest. Les navires explorent la lisière de glace au nord-ouest du Spitzberg à ce moment-là, avec plus d'options lorsque la glace se retire vers le nord. Au fur et à mesure que la banquise se retire vers le nord, elle se détache progressivement d'ouest en est, dégageant d'abord la côte du nord du Spitzberg, puis l'extrémité nord de Hinlopenstretet (ce qui permet de faire le tour du Spitzberg, le moment exact variant d'une saison à l'autre), puis la côte nord du Nordaustlandet.

Certaines années, la lisière des glaces peut se retrouver très loin au nord, permettant de faire le tour de tout l'archipel, et même d'atteindre le lointain Kvitøya. D'autres années, la banquise reste le long de la côte nord de Nordaustlandet, souvent coincée entre les îles du large. Cela empêche de faire le tour de l'archipel, mais les zones de banquise dérivante autour d'endroits comme Lagøya peuvent être superbes pour des croisières en bateau et même en Zodiac parmi la banquise.

Il y a une grande toundra à explorer le long de la côte plate du côté sud-ouest de l'Isfjorden, à l'est de Kapp Linne. Festningen, tout près de Barentsburg, est bien connu pour ses fossiles, dont l'empreinte d'un dinosaure dans des sédiments qui ont été forcés par les forces de la Terre en position verticale. Russekeila est un site culturel datant de l'époque où les Pomors russes pratiquaient le piégeage dans cette région.

La baie et le glacier du 14 juillet, nommés par le Prince Albert Ier de Monaco sur la Princesse Alice lors de ses expéditions océanographiques au Svalbard de 1898 à 1907.

C'est l'un des points forts du Krossfjorden, où l'on combine souvent un débarquement avec une croisière en Zodiac. En naviguant le long de l'impressionnant front du glacier, il y a régulièrement des vêlages avec des bergs dans la baie qui attirent des oiseaux comme les mouettes tridactyles. Et à proximité, il y a des falaises d'oiseaux avec une colonie de guillemots de Brünnich (Guillemot de Brünnich) qui comprend également des macareux moines. Les possibilités d'atterrissage (en faisant attention aux éventuelles vagues de tsunami dues aux vêlages) comprennent l'un des meilleurs endroits de tout le Svalbard pour les fleurs, et même la possibilité de marcher sur le côté du glacier.

Fort Ross est un ancien poste de traite abandonné sur l'île Somerset. Établi en 1937 par la Compagnie de la Baie d'Hudson, il n'a été opérationnel que jusqu'en 1948, car les conditions de glace sévères dans les eaux environnantes rendaient le site difficile à atteindre et économiquement non viable.

Il est intéressant de visiter une cabane de la Compagnie de la Baie d'Hudson et de contempler l'endroit. Elle est située à l'extrémité orientale du détroit de Bellot, sur une péninsule sud-est de l'île Somerset, un endroit clé dans le passage du Nord-Ouest.

Il s'agit du son entre Edgeøya et Barentsøya, des îles au sommet plat par rapport au Spitzberg, avec des plaines de toundra et des pentes sous des falaises plus élevées de piliers hexagonaux.

C'est la route préférée vers Hinlopenstretet, bien que l'extrémité orientale soit généralement bloquée par la glace en début de saison. Quelles que soient les conditions, c'est l'endroit idéal pour observer les ours depuis le point de vue élevé du bateau. Les ours se reposent souvent dans la toundra sur l'une ou l'autre rive, mais attention, il y a beaucoup de rennes que les inexpérimentés peuvent confondre avec un ours en début de saison, avec leur pelage blanchâtre. C'est également une zone où les carcasses de baleines et de phoques peuvent dériver sur le rivage et attirer les ours. Avec la toundra, il y a toujours la légère influence du gulf stream. Mais une fois l'extrémité orientale franchie, le navire se retrouve dans le Haut-Arctique et dans un paysage très différent, dominé par le désert polaire et les calottes glaciaires.

Atterrissage populaire à Hornsund avec des paysages spectaculaires, y compris des falaises d'oiseaux imposantes avec des milliers de mouettes tridactyles et de guillemots de Brünnich nicheurs et tout le bruit (gnål signifie "harceler" en norvégien), qui attire les renards arctiques au pied de la falaise. On y trouve également des oies et des rennes.

Le son entre le Spitzberg et le Nordaustlandet dans le Haut-Arctique, en contraste avec la côte plus douce de l'ouest du Spitzberg. En début de saison, il est bloqué par la glace qui se dégage lentement du sud.

Mais l'extrémité nord peut être bloquée par le pack pendant un certain temps, variable selon les saisons. Une fois ouverte, elle permet de contourner le Spitzberg, bien que la glace puisse encore dériver sur de forts courants et bloquer Hinlopenstretet. Lorsque le Hinlopenstretet est ouvert, mais que l'extrémité nord est toujours bloquée, les navires viennent dans la zone, généralement en naviguant le long du Freemansundet entre Edgeøya et Barentsøya, puis reviennent. La zone est superbe pour les croisières en bateau, les croisières en Zodiac et les débarquements. Il y a beaucoup d'oiseaux marins, le son peut être bon pour les baleines, il y a plusieurs fjords à explorer, comme le Wahlenbergfjorden, étonnamment aride et désertique, plusieurs groupes d'îles à explorer, comme Wahlbergøya, et la possibilité de faire l'expérience de ce qui est décrit comme le désert polaire. Trois sites se distinguent dans tout le Svalbard : la falaise de glace de Bråsvellbreen, le halage des morses à Torellneset et la falaise des oiseaux à Alkefjellet.

Les fjords de la partie intérieure de Hornsund sont superbes à explorer en bateau avec le paysage spectaculaire et accidenté, y compris le pic distinctif et imposant connu sous le nom de Hornsundtind. La géologie est impressionnante, et ne manquez pas d'observer les oiseaux, les phoques et même les ours polaires.

Plus loin dans le fjord, on trouve l'impressionnant et long front glaciaire de Hornbreen, ainsi que les fronts glaciaires de Burgerbutka au nord, et de Samarinvågen au sud. Ces endroits sont également excellents pour les croisières en Zodiac qui permettent de s'approcher des fronts glaciaires (à une distance sûre) et d'observer la faune.

Situé à l'angle nord-ouest d'Edgeøya, à l'entrée de Freemansundet, Kapp Lee est le lieu d'une échouerie de morses qui est également un bon endroit pour les rennes, la possibilité de voir des renards arctiques et une grande végétation de toundra.

C'est également un site d'importance culturelle avec les fondations d'une habitation de Pomor et plusieurs cabanes de chasseurs, y compris une cabane de forme hexagonale qui se trouve juste à côté de l'échouerie de morses. Juste au-dessus du rivage, sur une plage voisine, se trouvent les restes d'une baleine à tête en arc, dont la carcasse a dû dériver sur le rivage il y a longtemps. Aujourd'hui, grâce au relèvement isostatique (la terre se soulève lentement après avoir été poussée vers le bas sous le poids de la glace qui recouvrait tout le Svalbard), les ossements se trouvent à une courte distance au-dessus du rivage.

Le fjord Karrat, vers l’extrémité nord du système de la baie d’Uummannaq, est un excellent fjord à explorer avec ses icebergs, ses montagnes escarpées, ses fjords bleus, et la possibilité de marcher sur la toundra et d’observer la faune. Diverses espèces peuvent être observées, mais d’autres peuvent se montrer discrètes en raison de la proximité d’Upernavik.

Upernavik, sur l’île du même nom, est une très jolie ville située sur les pentes de l’île, entourée de paysages magnifiques, à l’entrée des systèmes de fjords locaux. En plus des maisons colorées, on y trouve le musée en plein air le plus septentrional du monde. Elle se targue également de posséder les plus grandes falaises à oiseaux du monde à proximité.

Il existe quelques autres établissements plus au nord avant que la calotte glaciaire n’atteigne directement la côte dans la baie de Melville, entre l’ouest du Groenland et l’extrême nord-ouest ainsi que Thulé.

La partie intérieure de Kongsfjorden est populaire pour les croisières en bateau et surtout les excursions en Zodiac, avec le paysage montagneux, quelques fronts glaciaires impressionnants, et la possibilité d’explorer les plaques de glace à la recherche de la faune, ainsi que la chance d’apercevoir un ours.

Soyez également attentif aux labbes à longue queue, l’un des rares endroits où ils nichent au Svalbard étant l’île de Ny London, au milieu de Kongsfjorden. Plusieurs lacs et étangs de la région peuvent attirer une variété d’oiseaux d’eau.

Les deux fjords divisés qui forment la partie intérieure du Krossfjorden sont populaires pour les croisières en bateau et en Zodiac afin d'apprécier le paysage, les fronts de glacier, et de guetter la faune et la flore ainsi que la possibilité d'apercevoir un ours.

Il existe également plusieurs options de débarquement, dont Möllerhamna, avec une cabine de chasseur peinte en orange, connue sous le nom de "Lloyds Hotel". De nombreux bateaux de croisière ont visité le site depuis plus de 100 ans, laissant derrière eux des souvenirs comme des panneaux, des graffitis (désormais interdits) et un bar. Sigenhamna est un autre endroit où se trouvait une station météorologique allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cette île, ainsi que les petites îles associées, se trouvent au large de la côte nord-ouest de Nordaustlandet. Lågøya signifie "île basse", c'est le site d'une échouerie de morses et c'est un endroit idéal pour les oiseaux, avec la possibilité d'apercevoir des mouettes de Sabine qui sont attirées par les lagons de l'île.

Une partie de l'île est surveillée par la mer et interdite d'accès, et les débarquements sont souvent contrariés par la présence d'un ou plusieurs ours. C'est une zone où il peut y avoir de la banquise lâche lorsque la banquise, plus à l'est, est encore trop compacte pour être traversée. Cela signifie que cet endroit est très populaire pour les croisières en Zodiac avec la faune que l'on peut rencontrer. Il y a au moins une vieille cabane de chasseur sur l'île, mais les conditions étaient particulièrement dures sur Lågøya, certains ont péri sur l'île, ce qui a rendu les chasseurs réticents à passer l'hiver ici.

Grâce à son emplacement, King's Bay a été le point de départ de plusieurs tentatives historiques d'atteindre le pôle Nord, et le mât des dirigeables de Nobile est toujours visible. Aujourd'hui, c'est un centre de recherche international sur l'Arctique, avec des maisons traditionnelles de l'époque de King's Bay et des bases modernes pour différents pays. Il est agréable de se promener dans la ville et le tourisme joue également un rôle. Les navires peuvent accoster au quai (l'un des rares quais à part Longyearbyen et Barentsburg au Svalbard). On y trouve des boutiques, un musée et le bureau de poste le plus septentrional du monde. L'endroit est également idéal pour les oiseaux, notamment la bernache nonnette (peut-être l'oie sauvage la mieux étudiée au monde), le plongeon à gorge rouge sur le lac et la mouette blanche près du chenil.

Situé à l’extrême nord-est de l’île de Baffin, faisant face à l’île Bylot. Il y a la communauté inuit et c’est aussi un lieu populaire et une base pour les excursions d’observation de la faune, notamment pour chercher le narval le long de la lisière de la glace avant qu’elle ne se retire.

Cette île est située dans un endroit clé du détroit de Lancaster, à la jonction du bras de mer Prince Regent et du détroit de Barrow, au large de la côte nord-ouest de l'île Somerset. Elle possède des falaises d'oiseaux de mer vraiment impressionnantes et constitue un important sanctuaire d'oiseaux.

Plus loin sur la côte nord-ouest du Spitzberg, plus à l'est, ce fjord est souvent bloqué par la banquise en début de saison, avant qu'elle ne commence à se retirer du coin nord-ouest du Spitzberg.

Les montagnes de cette région sont accidentées et la côte ici pourrait être la terre que Barents a vue quand il a trouvé le nom de Spitzberg. Le nom "fjord rouge" vient du grès rouge qui se trouve dans les zones sud et est du fjord. Il y a une cabane en bois de chasseur à Bruceneset et un cairn pour un pionnier qui est mort du scorbut pendant l'hivernage en 1907/08. Le nom est celui de l'explorateur William S. Bruce, la zone a été nommée par le Prince Albert Ier de Monaco sur la Princesse Alice lors de ses expéditions océanographiques au Svalbard de 1898 à 1907.

Avec la myriade d'îles et de chenaux, et la glace, il faut beaucoup de flexibilité pour savoir où explorer, mais la chance de voir beaucoup d'animaux sauvages, y compris des espèces comme la baleine boréale, qui sont rares dans les eaux du Svalbard.

Une série d'îles de granit dur qui se traduit par sept îles, des îles qui se trouvent au nord de Nordaustlandet. Étant les plus au nord de tout le Svalbard, les îles peuvent rester dans la banquise pendant une grande partie de l'année.

On peut voir des morses dans toute la région, avec au moins un débarquement dans une échouerie. Il y a beaucoup d'oiseaux de mer, et la chance de voir un ours se reposer quelque part sur l'une des îles, parfois plusieurs ours, compréhensible avec l'emplacement. Avec la myriade d'îles, il est très populaire d'explorer en Zodiac et la région a également des liens importants avec l'exploration polaire. De nombreux sites ont été nommés d'après les expéditions anglaises au pôle Nord menées par Phipps (1773) et Parry (1827), y compris Neslonøya, d'après un certain jeune matelot ! Il n'y a pas si longtemps, toute la région pouvait être prise dans la glace tout au long de l'année et juste à l'est se trouvait la zone où le dirigeable de Nobile, l'Italia, s'est écrasé sur la glace, avec un effort de sauvetage énorme.

Vestiges d'une mine de gypse sous des falaises spectaculaires et magnifiques. En plus des vestiges culturels, y compris des parties d'un chemin de fer et d'une barge, il possède une flore intéressante en raison de son emplacement "doux", au cœur de l'Isfjorden.

Les falaises voisines, qui descendent jusqu'à la mer, sont érodées en formes impressionnantes et peuvent être un endroit idéal pour explorer le large en Zodiac, la chance d'observer divers oiseaux de mer qui se reproduisent sur les falaises, avec les mouettes tridactyles et quatre espèces de pingouins, y compris les macareux. C'est un site populaire pour un débarquement combiné à une croisière en Zodiac, et un passage à la voile sur les bateaux de Longyearbyen qui visitent Pyramiden.

Ce vaste réseau de fjords offre des paysages impressionnants et de nombreux glaciers qu'il est agréable d'explorer en bateau tout en restant à l'affût des ours. C'est également une région chargée d'histoire.

Smeerenburg était la base des baleiniers hollandais et était connue sous le nom de "ville de la graisse", avec les vestiges des fours à graisse pour ceux qui descendaient à terre. Il y a aussi un échouage de morses que l'on peut observer depuis le rivage, ou depuis un Zodiac s'il y a un ours à proximité (ce qui est souvent le cas ici dans le Nord-Ouest). Tout près se trouve Virgohamna, le site où Andrée a entrepris son voyage infortuné vers le pôle Nord en ballon en 1897, et où Wellman a tenté de voler vers le pôle au début des années 1900. Aujourd'hui, il ne reste que les vestiges épars du hangar à ballons et du hangar à avions. Une autorisation spéciale est nécessaire pour atterrir, mais les vestiges peuvent être vus depuis un Zodiac au large. Smeerenberg est également l'endroit où le Fram est apparu après avoir dérivé dans l'océan Arctique, coincé dans la glace pendant trois ans !

Sur le côté nord-ouest de Bellsund, il y a une énorme colonie de petits pingouins parmi les vastes éboulis de sur le côté des crêtes montagneuses au-dessus de la plage d'atterrissage. Il peut être difficile de s'y rendre et de faire du repérage en cas d'ours, mais c'est un spectacle faunique époustouflant avec des milliers de petits pingouins qui tournent en rond et crient (on dirait des petits trolls !).

Cette activité attire également les renards arctiques et la toundra, avec tous les nutriments qui s'infiltrent, est superbe pour les plantes, et il faut faire attention aux oies et aux rennes.

Ce grand fjord, ainsi que les fjords associés de Bockfjorden et Liefdefjorden dans le nord du Spitzberg, deviennent accessibles lorsque la banquise se retire. C’est un endroit idéal pour la navigation en bateau, profiter du paysage et observer les ours le long de la vaste côte.

La flexibilité est essentielle en raison de la présence possible d’ours et des conditions météorologiques changeantes, mais il y a de nombreuses options dans ce vaste complexe de fjords. Les croisières en zodiac sont populaires, notamment vers le glacier Monacobreen à l’extrémité du Liefdefjorden, et les îles d’Andøyane, une excellente zone pour une grande variété d’oiseaux, dont l’Eider à tête grise. Il existe également des possibilités de débarquements. La grande et impressionnante cabane en bois à Mushamna, sur le côté nord-est de Woodfjorden. La petite cabane de chasseur connue sous le nom de Texas Bar dans le Liefdefjorden. La « source thermale » de Jotunkjeldane dans le Bockfjorden.